Photo
: Marcus Lane
C’est
quoi un fabuleux destin ? … Un spectacle inspiré d’Amélie
Poulain ? NOOOON pas du tout…
Ça
commence par un voyage… Des rencontres, furtives et éphémères…
Des
notes de piano ou de guitare, intimistes…
Des images
mouvantes (des
videos, quoi !)
pour
se laisser emporter vers le rêve, ou le rire…
La
mélancolie d’un passé révolu et le temps qui s’écoule
indéniablement… Retenir les instants éphémères de peur qu’ils
ne s’enfuient… Des émotions fugitives, qui flottent au gré du
vent… (blablabla…)
De
l’autodérision et de la légèreté, des mots d’humour, des mots
d’amour…
Une plume contemporaine, pour des tourments
intemporels !
Des chansons à l’ancienne pour un monde
moderne… A la Barbara, Leprest ou Biolay…
Des transitions
inattendues et décalées dans une mise en scène incongrue
!
PROCHAINES
DATES (en 2025)
:
Vend.
24 janv. - Vend. 7 fév. - Vend. 14 fév. - Sam. 15 mars - Mar. 1er
avril - Sam. 12 avril
Sam. 26 avril - Sam. 13 mai - Sam. 24 mai -
Sam. 14 juin - Vend. 27 juin
à
20h - à L'Impromptu
(8
cours de la Marne - Bordeaux - tram B Victoire)
6€ / 9€
(boisson offerte) - Billetterie (facultatif) : ici
Du
11 au 18 juillet 2025,
à
16h - à L'Incongru (Festival
Off d'Avignon)
Athéna
Mitchil (spectatrice la plus fidèle des spectacles de Mathilde)
:
« Si
vous n'aimez que les mises en scène insignifiantes, sans surprise.
les chansons incompréhensibles ou trop convenues, les transitions
sans aucune originalité, si vous n'appréciez que les spectacles
monotones, sans contrastes, sans aucune prise de risque de la part de
l'artiste, alors ne venez surtout pas voir Mathilde Chatin à
L’Impromptu ! »
Miren
Funke (chroniqueuse à la revue « Le Doigt dans l’Oeil »)
:
« Vous
connaissez cette magie qui opère, lorsque vous fermez les yeux en
écoutant une chanson, et que soudain vous avez les images, voyez les
paysages, croisez les personnages, sentez le froid saisissant ou la
chaleur du vent sur votre épiderme, reniflez les parfums, et vous
êtes dans le tableau, au milieu de la scène? Les chansons de
Mathilde font ça aussi. » (Miren Funke, chroniqueuse à la
revue « Le Doigt dans l’Oeil »)
Photos :
Éric Brunet